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14 février 2007 3 14 /02 /février /2007 17:32

 

SCIALET ROBIN

VERCORS

 

Samedi 10 février 2007
- Le scialet Robin -
               
Participants        : Jean-Marc Bianco, Cat mattéoli, François-Eric Cormier, Claire Lang, Jac Morel.
 
C'est tout de même incroyable ! Il en est passé des spéléos avides de premières, des promeneurs inconscients dans les lapiaz, des biches broutant paisiblement l'herbe du sous-bois. Et pourtant, une fois de plus le miracle s'est reproduit : ce trou, cet espace sombre qui n'avait jamais connu la lumière auparavant, au-dessus duquel l'homme préhistorique a déroulé toute son histoire, ce scialet nouveau vient d'être mis à jour par quelques mains gratteuses, et un petit jeune un peu mince : Robin.
Dans la Forêt de Lente, le scialet Robin existe maintenant pour l'homme moderne, et nous sommes décidés à voir la tête qu'il a.
 
Le Puits
Accompagné de quelques flocons de neige plus lourds que froids, nous effectuons la marche d'approche jusqu'au porche, 5 mn plus loin. Un boyau de 2 m et voici les premiers puits équipés d'une espèce de grosse corde à bateau refusant de coulisser dans le descendeur. Tout cela s'élargit pour donner sur le grand puits (140 m). Je ne m'interroge pas sur la raison pour laquelle je me retrouve devant et descend le magnifique tube de calcaire blanc. Presque en bas, un choix cornélien se présente. Du dernier fractionnement, deux cordes partent dans le noir : une à gauche, une à droite. Après quelques coups d'oeil vers le haut, le très haut, je vois bien qu'aucune aide ne viendra de là-bas et je choisi à droite. Une descente et me voilà dans une grande boucle qu'il faut remonter. La corde s'enfile ensuite derrière un bloc dont l'envie de chuter 20 m plus bas paraît évidente.
 
Le réseau des huitres
Nous voilà dans une petite galerie descendante, dont nos esprits agiles devinent rapidement qu'elle va dans le sens inverse de celui que nous voudrions. Profitons en tout de même, le descriptif indique de magnifiques huîtres. Au bout de 20' de recherche, il paraît évident que les huîtres ont déjà été terminées par les visiteurs précédents. On se console en se penchant dans le puits par-dessus le bloc instable. De là on voit bien la suite. Elle est en face, exactement en face de nous dans le puits. Il faut donc remonter la corde puis redescendre. Ou alors, monter un peu, attraper l'autre corde en gesticulant, changer de corde et redescendre. Ce à quoi Claire s'essaye sans succès puisqu'elle se retrouve à tournicoter la tête en bas, prête à vomir tout le pâté de ce midi. Après un sauvetage plein vide, nous sommes tous du bon coté du puits.
 
Le Labyrinthe
Maintenant c'est sensé être plat.
Rapidement nous verrons qu'à défaut d'être plat, c'est assez boueux, et même plus. Quelques concrétions par-ci par-là nous laissent ... songeurs. On essaye de trouver les lieux merveilleux :
« Ah, oui, là, tu as vu ? Une concrétion ! » « Non ? » « Si ! si ! Je te jure ! » Mais le coeur n'y est pas, et nous commençons à trouver le matériel photo un peu lourd. Bientôt nous sommes perdus. C'est vrai que c'est un peu compliqué, la zone, et la topo ne met pas beaucoup d'entrain à nous aider.
Pourtant, petit à petit nous commençons à voir des taches blanches sur la paroi. Est- ce la fatigue ? Est-ce du gypse ? De l'aragonite ?
Tout à coup, nous sommes devant une forêt de sapins de calcite, farouchement défendue par des cordelettes tendues en travers. Cà, c'est vraiment beau ! Nous continuons, cherchant notre chemin. Les parois sont couvertes de calcite par taches, sur fond ocre. Mais qu'est-ce que c'est sec ! Pas un gramme d'eau. Nous avons malheureusement perdu deux litres dans la descente. Nous finissons par nous arrêter, la langue pendante, pour prendre des photos et par la même occasion essayer de nous retrouver. Est-ce la galerie de la Neige ? Le Labyrinthe ? Mais où est la galerie des Manchots ? Ca devient très joli.Bah ... nous poursuivons
 
 
 
Le collecteur
Et voici comme par miracle que nous débouchons dans une très grosse galerie : le collecteur. C'est vraiment très beau ! Et très vieux  Toujours pas d'eau. Fier de nous être aussi bien débrouillés, nous mitraillons les parois de Mégapixels lumineux. Curieusement, là où il devrait y avoir une galerie, il y a un puits (avec de l'eau !). Et là où la galerie devrait s'arrêter, elle continue.  Sans se poser plus de question nous continuons à photographier « Pousse-toi, vas à droite, éteins ta flamme, compte jusqu'à trois, attend je recommence, plus haut le flash plus haut, ah j'ai mal cadré, Hé je change les piles » C'est la foire d'empoigne et il semble que les parois, à force d'entrer dans les cartes de stockage, disparaissent peu à peu.

Mais le plus beau est encore à venir. Les parois sont maintenant couvertes d'aragonites en bouquet, si proches et si fragiles. François-Eric disparaît d'un coup. 4mn 17' plus tard il est de retour avec son matériel macro qu'il avait laissé plus en amont. Nous l'abandonnons à son rêve de cristal et suivons la galerie.
 
Demi-tour
Mais l'heure avance. Le demi-tour s'impose.
Nous l'ignorons, mais une petite galerie sur la droite, la galerie des Manchots, nous tend les bras (si !si !). Elle nous aurait évité une heure de crapahut, mais, comme aveuglé par la beauté des lieux, nous ne lui jetons même pas un regard. Ce n'est que plus tard, la tête sur l'oreiller, que nous déchiffrerons enfin la topo et mettrons des noms sur nos terminus.
Le retour se fait avec sagesse à 3 h 00 du matin, accompagné de quelques éclairs de flash.
 
Dehors il ne neige plus, la route est noire, la température clémente.
La tente 2' est montée en 2' sur un lit de feuilles sous les sapins odorants, les carrymat se gonflent tout seuls les duvets reprennent du poil de canard, et le repas chauffe dans le camion de Jean-Marc et Cat. François-Eric est reparti courageusement tel une fusée chamoniarde vers le Mont Blanc.
 
Nous avons pris 400 photos.
  

            Jams' 2007

 

 








A l'entrée
Cat avant le grand puits


Juste avant la remontée des choux-fleurs


Puits des assiettes

Le Paleo-collecteur


c'est où l'amont et l'aval ?dans "l'avalamont"

Dents de cochon

le gour

Soldats de calcite









SCIALET ROBIN
 

Le scialet découvert en 2006 est encore équipé en première.

 

Participants : Jacques Morel, Claire Lang, François-Eric Cormier , Catherine Matteoli, Jean-Marc Bianco

 
Samedi 10 février 07
 

            Après un voyage agrémenté par la neige, nous rejoignons François-Eric à la Chapelle en Vercors . Puis direction la forêt de Lente, le repas sera rapide et l'habillage plus encore, vu la température.

 

            5 minutes de marche dans la neige et à 14 h nous attaquons la descente ,   deux mètres de boyau désobstrué au fond d'une baume, premier puits un peu étroit , mais dès le suivant le trou prend de belles dimensions.

 

            Nous arrivons rapidement en haut du P 140 (8 par 10) et dès le premier jet de 22 mètres, on a un petit frisson en apercevant les lumières étagées en colimaçon sur les 110 mètres restants.

 

            A -187 m, premier pendule sur la droite pour le réseau des huîtres, puis pendule à gauche pour la suite du réseau : le vestiaire, la salle blanche, puis le labyrinthe où nous passons 2 heures à suivre le courant d'air, tantôt entre les blocs tantôt en rampant dans la boue avant d?arriver au « gour des soldats de calcite » (magnifique). Un peu plus loin la galerie change d'aspect, le sol devient sableux et les parois recouvertes de poudre blanche. Une remontée dans les choux-fleurs est équipée.

 

            Ensuite nous suivons un conduit aux parois très découpées qui nous amène dans une énorme galerie : le collecteur fossile. Rapide casse-croûte, séances photos . Nous visitons l'amont rapidement puis l'aval jusqu'à la salle bloc. Nous laissons les appareils photos sur les conseils de Jacques sous prétexte qu'il commence à se faire tard. Mais lui, malin, a pris le sien et mitraille, à notre grande surprise, le premier buisson d'aragonite !...

           
 
 

                                                  

"Notre malin petit photographe"

Puis il faudra penser au retour avec encore quelques séances photos. Minuit, nous attaquons la remontée des puits et 2 heures plus tard tout le monde est au bivouac pour une petite soupe et une bonne nuit de sommeil, certains sous la tente d'autres dans le fourgon ! (sauf François-Eric qui a préféré rentrer sur Cham.)

 

Dimanche 11 février :

 

            Relâche, nous en profitons pour voir la grotte du Brudour (re-séances photos)


Merci encore à Jacques de nous avoir invité pour cette belle explo.      

 
La nouvelle table de camping !

 

          Cat et Jean-Marc


 

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 23:00

DESOBSTRUCTION AU KRYPT

Dédé, Guyou et Hervé

Samedi 03 février 2007


Dans la série « y’a 20 ans » d’aucuns parmi les plus ou moins anciens parcoureurs de ce site se souviendrons de cette relique d’ELISA remontée après plusieurs années passées au calme dans les profondeurs du krypt.

En bas du puit de l’échelle, en face de la salle à Guy, au détours de passages tortueux se trouve un départ de méandre (prometteur comme d’hab.à sioux-blanc) ; seulement voilà, pour pouvoir constater que derrière c’est pas large et que ça peux éventuellement continuer il fallait dégager la pile de calcite posée en plein milieux ;

- première « action élargissante » posée par Guyou : un cailloux déplacé.

- deuxième toujours par Guyou : pareil.

- troisième par moi : pareil.

Du coup c’est Dédé qui nous montre comment il faut faire en trouvant un peu de roche et en élargissant suffisamment pour progresser d’environ un mètre en horizontal et récupérer la vielle massette ; ça aura au moins servi à ça parce que derrière c’est pas gagné ; en plus le courrant d’air semble bien venir du puit du fond ; en tout cas j’ai fait connaissance du krypt ; le puit d’entrée est sympa et les passages étroits ne le sont plus depuis la reprise des désobs (ici)initiée par Guyou : cavité à voir ou à revoir. On a planté 2 spits en tête du puit du fond pour les futurs visiteurs.

 

Hervé.

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29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 11:17

 

DIMANCHE 29 JANVIER 

INTERCLUB GOUFFRE DU PETIT SAINT CASSIEN

 

Participants: Jp Lucot, Didou, "Dédé olives", Christine, Denis Laty, Cat, Zette, Cedric, Rocky,Franck, Laure, Yves, Jean-Marc.

Il y a deux ans le SCT organisait une sortie interclub au fond du Petit St Cassien, et les spéléos du CAF Toulon déséquipaient de - 100m à la surface le lendemain. Cette année les rôles sont inversés.

http://clubalpin.toulon.online.fr/Speleo/stcassien27012007.htm

Nous nous sommes retrouvés entre 9h 30 pour les premiers et 10 h 30 pour les retardataires au bord de la route de Rougier, bref nous avons commencé à descendre vers 11h 30 !  Certains sont allés entrevoir le départ du petit méandre, d'autres on fait quelques mètres dans le réseau des cascades. A 16h 30  le trou est déséquipé et nous nous retrouvons  tous  pour un copieux casse-croute.

http://gasclub83.over-blog.com/article-5437295.html


 
   

Photos Cédric

 

 

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24 janvier 2007 3 24 /01 /janvier /2007 17:01

 

 GROTTE DE GOURNIER

Dimanche 21 janvier 2007

Participants:

Equipe1: Siphon 1

- François Alleoud (Chourum,Gap)

- François-Eric Cormier

- Jac Morel (Chourum, Gap)

Equipe 2: Salle Chevalier

- Cat Matteoli (SCT)

- Didier Cornen (Didou) (ACV,SCT)

- Jean-Marc Bianco (SCT)

 

TPST: 7H 15

Entrée 9h45 - sortie 17 h

Temps déroulé:

Equipement et fond de la galerie fossile:1h15

Cascade de 12m : 1h 30 en comptant l' habillage néoprène

Siphon 1 :45'

Pour l'équipe 2 Salle Chevalier: 30'

Visite siphon 1 avec manip puis retour au bas de la diaclase Albert et repas 1h 15

Retour: 2h 30 sans se presser.

Conditions aquatiques:

22 mm au limnimètre du lac, débit faible, estimé à 20 / 25 l/s

 Equipement:

 Accès à la galerie fossile : déséquipé.

Accès utilisé : 2ème accès à la rivière.

Main-courantes avant la C 12 : elles sont constituées de fils clairs anciens, ou de barres alu de 1 m de longueur scellées aux deux extrémités par soudure sur plaquettes maison. Etat général correct sauf  une barre dont une des deux attaches est cassée. Elle pend donc sur 1 m au dessus de l'eau. Passage acrobatique en ponto. Quelques passages tire-bras en rive gauche.

Ressauts avant la C12 : cordes utilisables, état correct. Un passage sur la gauche un peu délicat à la descente (utilisation d'écailles rocheuses en bordure de la cascade qui arrose bien). Il est possible de tirer un petit rappel avec une corde 12 m.

Cascade de 12 m : corde en bon état, main-courante OK, diamètre 9 mm.

Ressaut du Shunt du P40 : Corde d'accès à la lucarne en bon état (environ 50 m de corde en 9 mm). Cordes d'accès au-dessus de la lucarne en bon état (1 dév) (environ 50 m de corde en 9 mm).

Diaclase Albert : équipée, cordes en bon état, de différents diamètres. La corde descendante est lovée pour éviter les dégats dû à l'eau.

Cascade de 17 m : équipée, corde état correct, difficilement protégeable de l'eau.

Siphon 1 : le radeau est toujours là, il reste un seul tube étanche avec bouchon. Deux autres tubes ont été bouchés avec de la chambre à air de camion. Efficace mais il faut vérifier l'état des chambres à air avant de partir dans le siphon.

Cheminement:

Accès à la salle Chevalier : le descriptif de Baudouin Lismonde est très correct. Voici un extrait avec quelques compléments fournis par G. Marbach pour éviter le P40:
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On sait qu’on arrive sous la salle Chevalier quand on passe sous des douches successives et qu’on rencontre deux arrivées d’eau sur la gauche. On bute alors sur une base de puits. Il n’y a plus d’eau et tout dégoulinant de l’eau des douches, on se demande où est la suite et si par hasard le réseau ne serait pas en crue tellement les douches sont fortes.

Pour trouver la suite revenir en arrière sur 10 m. L’eau sort d’une paroi en rive droite, une fissure remontante s’ouvre juste en aval. (On y trouvera un cairn, l’endroit est assez évident). Remonter la fissure sur 4 mètres et s’engager (à droite) dans la conduite forcée horizontale de 1 m de diamètre qui lui succède et est surcreusée par endroit. Au bout de 7 m, une lucarne de 50 cm de diamètre s’ouvre à gauche. S’y engager. Elle débouche dans une galerie sombre et un peu ruisselante formée par des blocs (base du grand éboulis). Prendre à gauche sur 1 m et chercher à monter dans une cheminée entre les blocs (si on n’était pas monté entre les blocs on serait arrivé au-dessus de la cascade de la galerie du bas). On débouche 5 m plus haut dans une galerie qui marque le début de la salle Chevalier.

Sortant des blocs, on voit une cascade à droite et une douche à gauche. La cascade est celle de Gournier, la douche est celle de l’affluent des Parisiens.
(B. Lismonde)
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Le passage le plus rapide permet de shunter à la fois la Grande Barrière et tout le détour par l'Affluent des Parisiens.
Après avoir débouché dans la salle, se retourner et continuer à escalader l'amas de très gros blocs, et s'élever ainsi dans la salle. Après 25 à 30 m de remontée, on débouche sur une plate-forme rocheuse. L’escalade est équipée avec une cinquantaine de mètre de corde en bon état.
On a le choix entre deux passages (en regardant la paroi qu'on vient de gravir) :
- à gauche et en montant, on accède par un trajet un peu argileux à l'affluent des Parisiens, via l'aide (?) d'une cordelette de 2 mm en octuple inquiétante. Itinéraire non testé.
- immédiatement à droite et au niveau de la plate-forme, on surplombe un puits arrosé (puits des Belges, qu'on a justement shunté par l'escalade) alimenté par l'eau de la rivière principale, sortant d'une lucarne de la paroi.
Contourner le puits par la droite et monter au-dessus de cette lucarne grâce à une corde de 20 m en place. Après une douche (violente !), quitter l'actif par une galerie s'ouvrant en face et suivre le plus évident. On arrive directement dans la salle du Carrefour, au pied de la diaclase Albert.
Vous trouverez les restes d’un bivouac.
(G. Marbach, modifié.)
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Cet itinéraire est vraiment très simple

Jam's

Cascade de 4 m

Salle Chevalier au niveau de la douche de l'affluent des Parisiens

Au pied de la la Grande Barrière

 

  Le samedi soir, nous retrouvons Jam's et ses copains à Autran, où nous rejoignent Laurent et Sandrine. Nous grignotons tout en préparant la journée du lendemain. Puis nous passons le reste de la soirée à voyager grâce aux récits de chacun : Népal, Niger, Cervin, Verneau, les anecdotes de Willy et son kayac ...
Dimanche matin, réveil 6 h 30 ! Nous nous retrouvons vers 9 h sur le parking des grottes de Choranche , 5 minutes après on se serait cru au marché aux puces , puis tout disparait dans les sacs et nous voila en route pour la grotte.


Gonflage des bateaux, traversée du lac, équipement de la vire et nous nous retrouvons tous les six en haut de la méduse, nos compagnons candidats pour le siphon 1 partent d'un pas allègre et nous les retrouvons l'espace d'un instant au moment où ils s'engouffrent dans le réseau actif. Nous enfilons nos néoprènes et Jean-Marc s'aperçoit qu'il a oublié la superbe topo de la salle chevalier que Jam's lui avait passé."Dommage!".

Nous voilà partit dans l'actif , et de mains courantes en escalades nous arrivons au pied de la cascade de 12 mètres  qui emplit la galerie d'un vacarme assourdissant .

Cat demande à Jean-Marc : « c'est bien la cascade de 12 ?», Jean-Marc : « Heu, non je ne croit pas !!! »
Nous continuons à suivre la rivière tantôt dans l'eau tantôt sur les fils clairs jusqu'à la fin des douches. Nous trouvons l'accès à la salle Chevalier, décrit par Jam's la veille : petite escalade, ramping dans un boyau et remontée entre les blocs jusqu'à la salle en suivant les cairns  dont nous avons largement apprécié la présence. Nous jetons un coup d'oeil rapide à la corde qui monte en haut de la salle vers le siphon 1 et nous nous disons que ce sera pour une prochaine fois. Nous traversons la salle Chevalier en passant sous la douche de l'affluent des Parisiens et  en admirant vite fait la cascade de Gournier toute proche, pour nous réfugier au sec au pied de la Grande Barrière .On déchaule, on grignote puis c'est le retour, 2 h plus tard nous revoilà à la salle à manger où nous nous changeons et au moment de partir nous sommes rejoins par Jam's § Co.  On se raconte nos aventures en 5 minutes : Jam's et François-Eric ont traversé le siphon sur le radeau  et  à la nage pour le retour dans de l'eau à 8 ° (un peu fraîche aux dires de Jam's). Tout le monde prend le chemin du retour dans le réseau fossile interminable après 5 h passées dans la superbe rivière de Gournier.

Objectif atteint pour tout le monde, dommage que les photos soient si embuées.

Cat et JMarc

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23 janvier 2007 2 23 /01 /janvier /2007 17:22

 

 AVEN DU PALAN SIOU BLANC

SAMEDI 20 JANVIER 07

 

 Participants: Chantal, Christiane , Didier, Pierre, Guy, Hervé G , Dédé et Romain


  Le rendez-vous était fixé à 10 h devant l'aven.Seul Guy certainement réveillé par le dernier coq résidant dans le quartier du pont du Las était déja sous terre. Il avait décidé d'équiper en solitaire et très tôt. Eh oui , quand on a l'habitude de se lever de bonne heure toute la semaine  !
Après avoir avalé un casse croute et échangé les derniers potins , nous descendons et enchaînons les fractios jusqu'au joli puit en cloche de 31 m.
Pour Romain, c'est la mise en pratique sous terre des techniques utilisées le week-end dernier en falaise.
Pour Pierre, c'est la reprise après 10 ans d'absence mais il n'a rien oublié (c'est comme le vélo ) à part quelques réglages sur son matos. La remontée se fait rapidement car Hervé a doublé l'équipement du P31.Le déséquipement se fait par Chistiane sous les yeux attentifs de Didier , son mentor.

 

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15 janvier 2007 1 15 /01 /janvier /2007 08:49

 

Dimanche 14 février

Entraînement en paroi et initiation

Siou Blanc


Jordi, Romain, Alice, Joan, Chantal


C'est dimanche, le jour des vieux.

 
Pour ne pas changer trop les habitudes, rendez-vous la bergerie de Siou blanc et ses falaises, on est sûr de savoir où allé.
Pas trop de retard de chaque côté, comme quoi, on s'améliore avec le temps.

Bon, nous allons aux falaises et Jordi équipe les plus courts passages, je crois que Joan plus tard équipera le grand morceau.


Alice rouspète, elle est pressée de monter, discution de famille, elle grimpe malgré tout, elle se bloque, elle râle, son frère l'aide, son père peste enfin, le top?


Romain et moi on se marre

Apres quelques "monte descend", on retourne manger aux voitures, il faut beau et Joan s'installe pour la sieste.


Les jeunes vont comme d'habitude escalader et taper sur la citerne, cela fait 15 ans que ça dure, mais cette fois Romain est initié.

On retourne faire notre tapage aux falaises et place aux mouvements de troupe ; fractios, passage de noeuds, ralerie et rigolade, c est dans la bonne humeur que s'achève cette journée.

Alors, Adrien, Machin, Romain t'as aimé ?

Je vous dispense des commentaires concernant les bleus, les bosses et les courbatures.
En rentrant, nous avons rencontré la valette (...tapette*) à la solo et ils ne risquaient pas de se déshydrater comme nous l'a dit Denis.


*voir soirée de nos AG respectives

 

   
   
   
   
   
   

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11 janvier 2007 4 11 /01 /janvier /2007 18:59

 

 SAMEDI 6 JANVIER

 AVEN DU SAINT JOSEPH  ALPES MARITIMES

 

 

photos Jordi Erra

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4 janvier 2007 4 04 /01 /janvier /2007 23:00
Mardi 2 janvier 2007

Sortie photos à l'Event de Peyrejal


Commune de St Andrè de Cruzière - Ardèche




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13 décembre 2006 3 13 /12 /décembre /2006 17:47

Samedi 9 décembre

La Goule

_____

Dimanche 10 décembre

Le Crypt

Participants: Philippe, Sophie, Bruno, Guy

Compte-Rendu de la sortie du Dimanche 10 décembre 2006,

9h, pour des travaux dans le CRYPT
sur la commune de Sollies-Toucas, après 20 ans de mise aux oubliettes !

(photo d'époque)


  Nous nous sommes donné rendez-vous à la carrière de Solliès-Toucas.
Après 30 mn de piste, nous arrivons sur le parking et garons les véhicules,
puis nous nous chargeons de sacs bien lourds.

 

Après 30 mn de marche nous arrivons à l’aven du CRYPT.

  Puits de 27 m. Bruno, chargé d’équiper le trou, est surpris de constater qu’aucun équipement n’est installé !! Il décide de mettre en place une sangle autour de l’arbre pour descendre sans danger.

  Philippe équipe la descente en installant un spit. Pendant l’ intervention de Philippe, nous nous préparons à descendre. Quelques minutes plus tard nous nous trouvons au fond du trou, chacun s’active à préparer le matériel de désobstruction, pendant que Bruno perce quelques trous afin d’agrandir le passage.

  Après, nous pouvons passer dans le Puit de l’échelle, qui subira lui aussi un « agrandissement» de l’étroiture.


Chose faite. Nous admirons le boulot. ‘’Quel chantier’’ ! Mais il faut penser à sortir. Nous rassemblons le matériel et nous remontons à la surface. Quel bonheur de poser les pieds sur le plancher des vaches !


À notre sortie une surprise nous attendait : notre ami Denis a préparé un bon café chaud, merci Denis. Après avoir pris des forces, nous retournons à nos véhicules. Au parking, nous attentons le groupe SANARYEN pour un repas et des échanges sur nos aventures.


Après ce frugal repas, chacun retourne chez soi.
A très bientôt.

 

Prévision des prochains travaux "étroiture de la salle Guy"

pour la fiche d'équipement prendre contact avec Guy!

compte rendu Guy Blasco

Mardi 12 décembre

Le Thymus

 

 

Voilà les ingrédients pour passer une bonne après midi!


- Etre en RTT et trouver un copain dispo en semaine .

- Préparer tout le matos et ne rien oublier ( surtout la bière pour la pose ) ,

- Prendre sa voiture ou son âne et monter sur le plateau de Siou-blanc .

Qu'il est bon de se retrouver dans la garrigue (formation buissonneuse des régions méditerranéennes ) entre romarin et tym au lieu de travailler !


L'aven du Thymus est étroit , sans mouvement d'air mais qui peut donner sur un réseau du style PSM ou Berger , restons optimiste .


Après plusieurs heures de travail acharné , nous arrêtons , il est l'heure de redescendre vers la civilisation , la tête remplie de rêves de premières .


En descendant  nous récupérons un couple de randonneurs égaré ,surpris par la nuit .


Conclusion : vive les RTT !


                      Dédé "le Poëte"

 

 

 

 

 

 

 

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27 novembre 2006 1 27 /11 /novembre /2006 19:28
 
Vendredi 24 novembre 
 
 
 ABIME DE RABANEL
 
Dédé,Hervé G.,Guy, Laure et Hervé,Didier et Christianne
 
 
Guy à l'équipement

Samedi 25 novembre

Aven de Rogues

Les mêmes et

Philippe et Sophie, Cat, Jean-Marc et Didou

galerie à - 150
La traversé du lac par Didou
Galerie après le 2eme Lac
Philippe dans l'étroiture de - 20
Soirée au Gîte
les 35 ans de Jean Marc !!
Le Cirque de Navacelle Dimanche 26 novembre
Un petit coup de fatigue?

et les moulins de la Vis

Une suberbe ballade

 500m d'après Sophie, mais qui en réalité  fait 

8 km !!!

départ 12h retour pour le repas 15h !

 normal!

 

à découvrir

Le régime de tarissement de la foux

La Vis

Randonnée

le Cirque de Navacelle

 

 

 

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